Rétablissement d’une paix durable, retour des déplacés et des réfugiés, relance de l’économie, des activités financières et de développement, la réunification du pays, la restauration de la démocratie, autant des sujets ayant fait l’objet des divers échanges entre le Raïs Joseph Kabila et différentes couches de la population. Depuis son arrivée dans la ville de Goma, l’ancien Président de la République, consultes ses concitoyens et se montrent aussi attentifs face à leurs attentes et préoccupations, suscitant espoir pour un lendemain meilleur.
“Nous entant que religieux, nous lui avons demandé de jouer un rôle d’arbitre afin que la paix revienne. Pendant 18 ans, il a battu un travail de titan que nul n’ignore. Il a tout fait pour réunifier ce pays. Qu’il s’implique pour que la paix puisse revenir. Nous demandons le retour de la paix rien que la paix”. Confirmait Joël AMURANI, président de la plateforme des confessions religieuses du Nord-Kivu. Et d’ajouter dans sa déclaration au sortir de leur rencontre avec le Sénateur à vie : “Il nous a exprimé son souhait de voir la paix revenir dans l’Est et dans tout le pays. Son souhait que la paix soit restaurée, la cohésion nationale et le vivre-ensemble”.
Pas des sujets tabous
Responsable des confessions religieuse, chefs coutumiers, activistes de la société civile, les responsables des institutions d’enseignement supérieur et universitaire, les femmes, les jeunes, les leaders communautaires, et bien d’autres encore, Joseph Kabila, se sont donnés et se donnent encore du temps pour consulter. Devant ses différents intervenants dans la vie socio-économique et sécuritaire en province du Nord Kivu en particulier et dans l’Est de la RD Congo en général, ses hôtes, dans leurs échanges, n’ont pas porté de gants : “Il nous a exhorté à s’exprimer en toute liberté”, rassurait l’un des leaders communautaires. “Avec lui il n’y a pas eu ni des questions taboues, ni langue de bois”, ajoutait un chef coutumier : “Nous avons eu la plus belle occasion de lui exprimer nos attentes, celles de notre population, qui aspire au rétablissement d’une paix durable et à l’émergence socio-économique”, témoigne Liberata BURATWA, la porte-parole de la plate-forme des femmes reçues par l’ancien Chef de l’État.
“Les principaux sujets, étaient d’ordre sécuritaire, de développement, mais aussi de cohabitation pacifique entre pouvoir coutumier et pouvoir moderne, le retour des populations déplacées dans leurs zones respectives”, confirment le Mwami Isaac BUTSTI KAHEMBE IV. La présence de l’ancien président de la République, s’inscrit dans une approche de recherche de la paix d’après ses interlocuteurs. “Il nous a dit qu’il est venu ici, c’est pour la paix. Or pour nous chefs coutumiers, notre préoccupation majeure, c’est la paix. Même nos populations, elles voudront avoir cette paix qui demeure la plus grande préoccupation des populations locales”, a confirmé l’honorable Mwami Nicolas KALINDA KIBANCHA, chef de la chefferie des BAHUNDE en territoire de MASISI et leader des chefs coutumiers. Avant de conclure, “Toute personne qui s’inscrit dans cette logique-là, nous entant que chefs coutumiers, c’est notre grand souci, c’est notre grand souhait”.
Leader et source d’inspiration
Agenda trop chargé, des sollicitations d’audiences d’échanges venant de tous bords, le Sénateur à vie, qui fait désormais face à des poursuites judiciaires de la part de la haute cour militaire, reste très sollicité : “C’est un grand leader et une source d’inspiration pour nous la jeunesse et qui constitue d’ailleurs l’avenir de demain”, reconnaissent plusieurs leaders des structures de la jeunesse au Nord Kivu. Face à eux, le message a été clair ont-ils reconnu : ” Il est notre ancien Président et notre référence, nous exprimant son attachement à la paix, et aux valeurs cardinales devant caractériser la démocratie. Il est et il demeure un monument pour notre démocratie. Retenons qu’Il s’est sacrifié pour un Congo Uni, fort et démocratique dès son jeune âge avant de surprendre le monde par une alternance pacifique et civilisée en 2018, du jamais vécu dans notre pays”, témoigne Mista BUNONGO, l’un des leaders de jeunes.
Autant de reconnaissance de la part de toutes les couches de la population qui ont eu à tour de rôle à échanger avec l’ancien Président de la RDC ; qualifié par ailleurs de grande bibliothèque pour la paix, la démocratie et l’émergence socio-économique de notre nation.
Dans un espace sous contrôle des rebelles de l’Alliance fleuve Congo/Mouvement du 23 mars, l’ancien président se trouve presque en terrain conquis et joui même de la bienveillance de la part des autorités rebelles. Ce qui témoigne de son importance dans le jeu politique actuel : “C’est une bonne nouvelle’’, a affirmé Corneille NANGAA, le Coordonnateur de l’AFC/M23 lui qui est allé accueillir le sénateur à vie qui était passé par un pays de l’Est afin d’atteindre Goma. Et d’ajouter “Il a fait un bon choix en refusant l’exil forcé. À Goma, Kabila est le bienvenu dans cette partie du pays où l’arbitraire, la persécution politique, les condamnations à mort, le tribalisme, les discriminations et les discours de haine n’ont pas droit de cité”.
Sur place dans la ville volcanique, lui qui a rappelé son passé militaire dans son allocution à la nation prononcée le 23 mai 2025, promettant de faire sa part dans le rétablissement d’une paix durable et de la démocratie, consulte toujours et encore sans relâche. L’objectif d’après son entourage, prendre langue avec différentes couches de la population afin de comprendre leurs points de vue à l’égard de la situation socio sécuritaire et politique que traverse actuellement le pays.
Sam BALINGENE
“Nous entant que religieux, nous lui avons demandé de jouer un rôle d’arbitre afin que la paix revienne. Pendant 18 ans, il a battu un travail de titan que nul n’ignore. Il a tout fait pour réunifier ce pays. Qu’il s’implique pour que la paix puisse revenir. Nous demandons le retour de la paix rien que la paix”. Confirmait Joël AMURANI, président de la plateforme des confessions religieuses du Nord-Kivu. Et d’ajouter dans sa déclaration au sortir de leur rencontre avec le Sénateur à vie : “Il nous a exprimé son souhait de voir la paix revenir dans l’Est et dans tout le pays. Son souhait que la paix soit restaurée, la cohésion nationale et le vivre-ensemble”.
Pas des sujets tabous
Responsable des confessions religieuse, chefs coutumiers, activistes de la société civile, les responsables des institutions d’enseignement supérieur et universitaire, les femmes, les jeunes, les leaders communautaires, et bien d’autres encore, Joseph Kabila, se sont donnés et se donnent encore du temps pour consulter. Devant ses différents intervenants dans la vie socio-économique et sécuritaire en province du Nord Kivu en particulier et dans l’Est de la RD Congo en général, ses hôtes, dans leurs échanges, n’ont pas porté de gants : “Il nous a exhorté à s’exprimer en toute liberté”, rassurait l’un des leaders communautaires. “Avec lui il n’y a pas eu ni des questions taboues, ni langue de bois”, ajoutait un chef coutumier : “Nous avons eu la plus belle occasion de lui exprimer nos attentes, celles de notre population, qui aspire au rétablissement d’une paix durable et à l’émergence socio-économique”, témoigne Liberata BURATWA, la porte-parole de la plate-forme des femmes reçues par l’ancien Chef de l’État.
“Les principaux sujets, étaient d’ordre sécuritaire, de développement, mais aussi de cohabitation pacifique entre pouvoir coutumier et pouvoir moderne, le retour des populations déplacées dans leurs zones respectives”, confirment le Mwami Isaac BUTSTI KAHEMBE IV. La présence de l’ancien président de la République, s’inscrit dans une approche de recherche de la paix d’après ses interlocuteurs. “Il nous a dit qu’il est venu ici, c’est pour la paix. Or pour nous chefs coutumiers, notre préoccupation majeure, c’est la paix. Même nos populations, elles voudront avoir cette paix qui demeure la plus grande préoccupation des populations locales”, a confirmé l’honorable Mwami Nicolas KALINDA KIBANCHA, chef de la chefferie des BAHUNDE en territoire de MASISI et leader des chefs coutumiers. Avant de conclure, “Toute personne qui s’inscrit dans cette logique-là, nous entant que chefs coutumiers, c’est notre grand souci, c’est notre grand souhait”.
Leader et source d’inspiration
Agenda trop chargé, des sollicitations d’audiences d’échanges venant de tous bords, le Sénateur à vie, qui fait désormais face à des poursuites judiciaires de la part de la haute cour militaire, reste très sollicité : “C’est un grand leader et une source d’inspiration pour nous la jeunesse et qui constitue d’ailleurs l’avenir de demain”, reconnaissent plusieurs leaders des structures de la jeunesse au Nord Kivu. Face à eux, le message a été clair ont-ils reconnu : ” Il est notre ancien Président et notre référence, nous exprimant son attachement à la paix, et aux valeurs cardinales devant caractériser la démocratie. Il est et il demeure un monument pour notre démocratie. Retenons qu’Il s’est sacrifié pour un Congo Uni, fort et démocratique dès son jeune âge avant de surprendre le monde par une alternance pacifique et civilisée en 2018, du jamais vécu dans notre pays”, témoigne Mista BUNONGO, l’un des leaders de jeunes.
Autant de reconnaissance de la part de toutes les couches de la population qui ont eu à tour de rôle à échanger avec l’ancien Président de la RDC ; qualifié par ailleurs de grande bibliothèque pour la paix, la démocratie et l’émergence socio-économique de notre nation.
Dans un espace sous contrôle des rebelles de l’Alliance fleuve Congo/Mouvement du 23 mars, l’ancien président se trouve presque en terrain conquis et joui même de la bienveillance de la part des autorités rebelles. Ce qui témoigne de son importance dans le jeu politique actuel : “C’est une bonne nouvelle’’, a affirmé Corneille NANGAA, le Coordonnateur de l’AFC/M23 lui qui est allé accueillir le sénateur à vie qui était passé par un pays de l’Est afin d’atteindre Goma. Et d’ajouter “Il a fait un bon choix en refusant l’exil forcé. À Goma, Kabila est le bienvenu dans cette partie du pays où l’arbitraire, la persécution politique, les condamnations à mort, le tribalisme, les discriminations et les discours de haine n’ont pas droit de cité”.
Sur place dans la ville volcanique, lui qui a rappelé son passé militaire dans son allocution à la nation prononcée le 23 mai 2025, promettant de faire sa part dans le rétablissement d’une paix durable et de la démocratie, consulte toujours et encore sans relâche. L’objectif d’après son entourage, prendre langue avec différentes couches de la population afin de comprendre leurs points de vue à l’égard de la situation socio sécuritaire et politique que traverse actuellement le pays.
Sam BALINGENE
