
Depuis plus de trois ans il s’observe une timide trafic sur le tronçon Goma-BUTEMBO, les courageux usagés de cet axe miné d’une tracasserie sans pareille et la cause des conséquences des affrontements entre l’es Forces armées de la République Démocratique du Congo et les rebelles AFC/M23. Cette situation non seulement provoque une frustration aux voyageurs, mais impacte négativement sur la vie sociale économique de la région notamment la hausse de prix de premier nécessiteux.
La guerre qui oppose les Forces Armé de la République Démocratique du Congo et le Rebelle AFC/ M23 a beaucoup impacté le trafic sur l’axe Goma BUTEMBO. La fréquence de voyage sur la route Nationale N°2 à drastiquement baissé : « On ne peut pas exposer la vie de nos passagers en empruntant cette route de peur que nous tombions dans les embuscades ou se retrouver entre deux feux », témoigne un chauffeur de bus, « Je ne fréquente plus ce tronçon depuis plus de trois ans déjà, je fais le transport intervalle pour juste survivre, vraiment, c’est pénible », poursuit-il.
Franchir le Rubicon

À ce jour, la situation n’est ni paix ni guerre, certaines personnes courageuses ont décidé de franchir la ligne de front en dépit de conséquence y afférente : « on n’a pas de choix reste à la maison on va mourir de faim, traversé la ligne de front on peut aussi mourir on n’a pas de choix voilà nous nous sommes jetés dans l’eau malgré nous ». Pour diverses raisons, Ils sont nombreux qui empreinte cet axe. Les uns, c’est pour de raison sociale, Ici nous sommes au parking d’une agence de voyage au rond-point SIGNERS à Goma : « cette guerre nous appris à prendre de risque, j’étais venu à Goma pour assister à un deuil et la guerre m’a surprise à Goma voilà déjà six mois rien ne change dans cette situation je suis obliqué de prendre ce risque de rentrer chez moi à BUTEMBO advienne que pourra », Déclare KABUO Claire
Entre mutisme et tracasserie

Après près d’un an d’interruption due aux violents affrontements entre les rebelles du M23 et les FARDC, le trafic routier reprend timidement sur l’axe stratégique BUTEMBO-GOMA, traversant les territoires de Rutshuru et Lubero, sous contrôle partagé des deux forces. Malgré eux, quelques véhicules de transport de marchandises et de passagers circulent. Certains conducteurs, au péril de leur vie, bravent la peur, les tracasseries et les taxes illégales. « J’ai parcouru les 350 km entre Goma et BUTEMBO sans incident », témoigne un jeune conducteur d’agence de voyage. Sur cet itinéraire, trois barrières sont tenues par les FARDC et quatre autres par l’administration du M23. Détourné et plus couteux Dans le contexte la vie à continuer sa cour normale, Pendant ce temps des voyageurs et agence de voyage ont trouvés d’autre possibilité pour atteindre soit Goma et BUTEMBO. Durant la fermeture de la route, plusieurs agences avaient contourné par l’Ouganda et le Rwanda, faisant grimper le coût du voyage à 180 dollars contre 25 auparavant. Avec la réouverture partielle, certaines agences ont ramené le tarif à 50 dollars.
La Cruche Hebdo
La guerre qui oppose les Forces Armé de la République Démocratique du Congo et le Rebelle AFC/ M23 a beaucoup impacté le trafic sur l’axe Goma BUTEMBO. La fréquence de voyage sur la route Nationale N°2 à drastiquement baissé : « On ne peut pas exposer la vie de nos passagers en empruntant cette route de peur que nous tombions dans les embuscades ou se retrouver entre deux feux », témoigne un chauffeur de bus, « Je ne fréquente plus ce tronçon depuis plus de trois ans déjà, je fais le transport intervalle pour juste survivre, vraiment, c’est pénible », poursuit-il.
Franchir le Rubicon

À ce jour, la situation n’est ni paix ni guerre, certaines personnes courageuses ont décidé de franchir la ligne de front en dépit de conséquence y afférente : « on n’a pas de choix reste à la maison on va mourir de faim, traversé la ligne de front on peut aussi mourir on n’a pas de choix voilà nous nous sommes jetés dans l’eau malgré nous ». Pour diverses raisons, Ils sont nombreux qui empreinte cet axe. Les uns, c’est pour de raison sociale, Ici nous sommes au parking d’une agence de voyage au rond-point SIGNERS à Goma : « cette guerre nous appris à prendre de risque, j’étais venu à Goma pour assister à un deuil et la guerre m’a surprise à Goma voilà déjà six mois rien ne change dans cette situation je suis obliqué de prendre ce risque de rentrer chez moi à BUTEMBO advienne que pourra », Déclare KABUO Claire
Entre mutisme et tracasserie

Après près d’un an d’interruption due aux violents affrontements entre les rebelles du M23 et les FARDC, le trafic routier reprend timidement sur l’axe stratégique BUTEMBO-GOMA, traversant les territoires de Rutshuru et Lubero, sous contrôle partagé des deux forces. Malgré eux, quelques véhicules de transport de marchandises et de passagers circulent. Certains conducteurs, au péril de leur vie, bravent la peur, les tracasseries et les taxes illégales. « J’ai parcouru les 350 km entre Goma et BUTEMBO sans incident », témoigne un jeune conducteur d’agence de voyage. Sur cet itinéraire, trois barrières sont tenues par les FARDC et quatre autres par l’administration du M23. Détourné et plus couteux Dans le contexte la vie à continuer sa cour normale, Pendant ce temps des voyageurs et agence de voyage ont trouvés d’autre possibilité pour atteindre soit Goma et BUTEMBO. Durant la fermeture de la route, plusieurs agences avaient contourné par l’Ouganda et le Rwanda, faisant grimper le coût du voyage à 180 dollars contre 25 auparavant. Avec la réouverture partielle, certaines agences ont ramené le tarif à 50 dollars.
La Cruche Hebdo